Le blanchiment de
symboles nazis en Europe et dans la presse de l'Europe occidentale
L'Ukraine est à l'heure actuelle est menée par des groupes
et des politiciens de la partie occidentale du pays, y compris, les partis
Svoboda et Pravy Sektor. Les drapeaux et symboles de ces groupes ont des
origines étroitement lié aux Nazis de la
Seconde Guerre mondiale, tout simplement.
Personne dans la presse dite ‘MSN’ ne veut attirer l'attention de leurs
téléspectateurs ou lecteurs de ce fait. Sinon il y un blanchiment totale. Il y a des néonazis, des ultranationalistes,
des nazis et des nazis de façon voilée dans l’Ukraine, mais tout simplement on ne les voit pas sur la TV ou dans les
journaux comme ça. Parfois, la presse les voient mais des lunettes roses, largement
évolué depuis les jours de Maidan, car ils sont la bonne cotée, n’est pas? Ils
veulent l’Europe non? Bien sûr que l’Europe a
cultivé les dirigeants de Maidan, y compris Svoboda et Pravy Sektor.
La plupart des ultra-nationalistes et nazis voient l'occupation par les soviets de
l'Ukraine, en particulier, la famine de Staline, l'Holodomor, comme des faits très
mortel et oppressant. Par la suite, Maidan a laissé libre cours à une haine tout
aussi féroce envers les russophones. Les statues de Lenine tomberaient ainsi
que le parti communiste est octroyé du pouvoir. Des vagues d'arrestations, de
détentions, d'agressions, de torture, d'enlèvements, de disparitions et
d'exécutions sont orchestrés par l'État.
Et ensuite il y a le conflit sanglant dans les Donbass.
"Je ne me soucie pas de quels drapeaux ou symboles ils
utilisent, tant qu'ils se battent pour la liberté de l'Ukraine," le
gouverneur Vice-Vladimir Kharchuk a dit dans une interview avec « The
Daily Beast ». Parlons de la liberté Ukrainienne, elle est comment en ce
moment? Encore une fois personne ne se
pose la question pourtant il existe une peur et un règne de terreur. Des leaders politiques de Kiev ont ouvertement
appelé au meurtre des Russes, des cas récemment vu très clairement dans un
certain nombre de discours électoraux et affiches. Le pire c’est qu’on a vu à
plusieurs reprises des combattants ukrainien, photographié portant des casques
avec des svastikas et les lettres SS, aussi bien que des drapeaux nazis. Pour
une certaine population de l’ouest de l’Ukraine, ces symboles sont populaires. Tout
ça se déroule sans de soucis pour la presse occidentale ou les leaders de l’UE.
Certes il y a des individus qui ont la liberté de parole,
pour encourager les autres de « tuer les russes ». Ne mentionnez pas la crise de nerfs du
gouvernement français avec la quenelle inversée. L’Ukraine est loin de là
depuis février 2014. C’est l’Ukraine qui arrive en tête du classement mondiale
pour les symboles et le comportement néonazi et nazi. Aujourd’hui ce n’est pas
les juifs qui ont peur mais les russophones de l’Ukraine, qui sont en première
ligne, suivi par la Russie même. Ce n’est pas par hasard qu’il y a des millions
de citoyens ukrainiens qui associent les symboles de Svoboda et Pravy Sektor
avec l'armée Nazie qui a occupé et a brutalisé l'Ukraine pendant la Deuxième
Guerre mondiale. L'armée insurrectionnelle ukrainienne (UPA et l’OUN), avec le
soutien des nazis, assassina des milliers de Juifs et Polonais pendant la
seconde guerre mondiale, tel comme à Lwow (Lviv) en 1941.
Les leaders européens et la presse dite « MSN » ont été tellement assombris par une hostilité des
russes, non seulement fondée sur des rivalités historiques des empires mais basée
sur la peur de l’ancien empire soviétique en plus. Ils ne sont jamais sortis de
cette stupeur idéologique. Le paradoxe est que les groupes tels que Svoboda et Pravy Sektor, ouvertement
violent, sont juste un bout d’un mouvement croissant qui partagent une vision anti-démocratique.
Selon la presse occidentale, ils sont les bons gars car ils luttent pour l’Europe
contre les « méchants russes ». Ils sont le noyau qui englobe le pouvoir
politique de l’Ukraine actuel.
Pourtant le charme attirant de Kiev, semblable aux sirènes
d’Ulysse, continue d’apparaitre dans nos journaux. Qui sont les fascistes et qui sont les nazis? Certes il y en qui portent des uniformes
noires ou vertes, style de l’armée de l’OUN, des autres non. Or, les mots
utilisés à Kiev, comme « tuez les Moskals », » les colorados
brulent », « a mort les vatniks » sont que pour humilier les
russophones, car les mots sont mêmes des sources de fortes fiertés et aussi de supériorité.
Iryna Farion, membre du parlement ukrainien, issu du parti Svoboda, a récemment
dit en octobre « nous n'avons qu'une seule issue - détruire Moscou, et
nous vivons pour cela, et pour cela nous sommes venu en ce monde - pour
détruire Moscou. » Tandis que tout
ça se déroule, il y une forte augmentation des massacres quotidien des
russophones du Donbass, mais personne
n’y en parle dans l’enceinte de l’UE. L'UE et ses États membres ne doivent pas
fermer les yeux sur les incessantes provocations et haine des ultra-nationalistes
et nazis siégés à Kiev.
A voir
aussi : http://www.reuters.com/article/2014/10/21/us-ukraine-crisis-election-idUSKCN0IA1M120141021
- War heroes and activists to shape
new-look Ukraine parliament
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