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mercredi 11 juin 2014

Video: La crise de l'Ukraine - ce que vous n'êtes pas racontées [fr]


La crise de l'Ukraine - ce que vous n'êtes pas racontées  
12. Mar.2014 | SCGSCG


 


 Transcription en français [NS]

Le public européen et américain est systématiquement menti au sujet de la crise de l'Ukraine.

Dans cette vidéo, nous allons vous fournir des preuves convaincantes que les crimes contre l'humanité commis à Kiev au début de cette année, en effet,  furent commis par le nouveau gouvernement de coalition et que les responsables de l'UE et les États-Unis savaient pertinemment bien qui a commis ces crimes et qu'ils sont en train de protéger et soutenir financièrement les véritables criminels.

Le 20 février 2013, le monde a été choqué par la vidéo avec des tireurs d'élite, qui tirent sur des manifestants à Kiev en Ukraine. 21 personnes furent tuées, et il était largement supposé que le Président Victor Ianoukovich et ses partisans étaient derrière les attaques. Cependant une conversation téléphonique entre Cathy Ashton, la chef de la politique étrangère de l'UE et le ministre des affaires étrangères estonien, Urmas Paet divulgué au public le 5 mars a révélé que les tireurs étaient effectivement du nouveau gouvernement de coalition, et que les diplomates occidentaux le savaient et ils l’ont dissimulé.


La version courte de l'appel de fuite :

Urmas Paet: «toute évidence montre que les personnes qui ont été tués par des tireurs embusqués de des deux côtés, les policiers et les gens dans la rue, qu'ils étaient les mêmes tireurs d'élite en train de tuer des gens des deux côtés. »

Cathy Ashton: « eh bien c'est, ouai... »

Urmas Paet: "et elle m'a également montré des photos et elle a dit qu'a docteur en médecine, elle peut dire que c'est la même écriture..."

Cathy Ashton: « Ouai... »

Urmas Paet: "même type de balles... et ce n'est vraiment inquiétant que maintenant la nouvelle coalition, qu'ils ne veulent pas à enquêter sur ce qui s'est exactement passé. Afin qu'il y a maintenant une compréhension de plus forte et plus forte que derrière les tireurs d'élite, ce n'était pas Ianoukovitch, mais c'était quelqu'un de la nouvelle coalition.

Pour une raison quelconque les médias États-uniens n'ont pas pensé que peu de détails valaient la peine d’être couvert.

Mais attendez... Je pensais que l'opposition était des militants pacifiques qui juste voulaient une chance de rejoindre l'UE.

Eh bien oui, c'est le récit officiel que les médias américains ont colporté, mais la vraie histoire est beaucoup plus inquiétante. Il s'avère que le contingent le plus puissant et d’influence dans l'opposition est une coalition de carrément fasciste et néonazi, et ils ne sont pas pacifiques. En fait, ils sont extrêmement brutaux.

La plus importante parmi ces groupes est une organisation appelée Svoboda. Le parti Svoboda qui trace ses racines de l'armée ukrainienne des partisans de la Seconde Guerre mondiale, était faiblement allié avec l'Allemagne nazie. Jusqu'en 2004, Svoboda a été appelé le Parti social-nationaliste, une référence délibérée au nazisme des nazis.
Nous ne sommes pas en train de lancer le terme néonazi autour comme une insulte vide ici. Le leader de Svoboda, Oleh Tyahnybok, vise ouvertement les Juifs et les Russes ethniques en Ukraine depuis de nombreuses années. En 2004, il a été chassé de gouvernement de Viktor Yushenko pour un discours appelant à les Ukrainiens de lutter contre une « mafia moscovite juif », et en 2005, il a signé son nom à une lettre ouverte aux dirigeants de l'Ukraine, intitulé "Arrêter la criminelle activité organise la communauté juive".

Et rien de tout cela n’était un secret. La BBC déjà rapportait sur le danger que montée de Svoboda présentait en 2012, et l'Union européenne a adopté une résolution condamnant Svoboda, comme « raciste, antisémite et xénophobe » la même année. Pourtant, en quelque sorte, le gouvernement américain pensait que c'était approprié de soutenir ces extrémistes.

Il s'agit d'une photo de Victoria Nuland du département d'État américain en train de rencontrer avec Oleh Tyahnybok en février, et il s'agit d'une photo du sénateur John McCain, partager la scène avec Tyahnybok en décembre.

Parce qu'ils pensaient qu'ils pouvaient maîtriser la situation. Ils pensaient qu'ils pouvaient installer leurs marionnettes dans les coulisses et manipuler la situation en leur faveur. Ce n'est pas une théorie. Une fuite que même Victoria Nulland qui a rencontré Svoboda en février a été pris dans un autre appel téléphonique discutant qu’ils mettraient au pouvoir.

Les grands médias, tentés d'attirer votre attention de la part importante de cette conversation en mettant l'accent sur le fait qu'elle a utilisé un juron en se référant à l'UE.

Le gouvernement américain pensait qu'ils pouvaient contrôler cette bête. Mais ils avaient tort. Svoboda et le Sektor Droit ne sont pas des jouets à jouer avec. Ces groupes sont armés, ils sont énergiques, et qu'ils considèrent cette crise comme une opportunité pour remodeler l'Ukraine à leur image.

Cette vidéo montre un éminent chef de Sektor Droite, Alexander Muzychko, brandissant un Ak-47 au Parlement pour leur faire savoir qui est en charge.
 

Il s'agit de le même Alexander Muzychko qui a publiquement juré de se battre "contre les Juifs, les communistes et la crasse russe" pour aussi longtemps qu'il vit.

Apparemment, le gouvernement américain a été un peu lent pour prendre le fait que leur main a été exposée. En mars, un haut responsable américain a déclaré à Reuters que « depuis son entrée au Parlement ukrainien en octobre 2012, la direction de Svoboda a travaillé à prendre leur parti dans une direction plus modérée et de devenir un parti politique européen modern, pour le grand public, la direction a été beaucoup plus vigilante sur l'expulsion ou autrement de punir les membres individuels qui s'engagent dans le comportement ou la rhétorique xénophobe. »
NdR [Alexander Muzychko a été assassiné];

Il est donc autorisé d’utiliser des groupes néonazis connus pour renverser un gouvernement tant que leurs dirigeants empêchent leur peuple de dire quelque chose de stupide devant les caméras pour quelques mois ? La réalité de l'affaire, c'est qu'aussi cette affirmation ridicule Washington, ils sont piégés. Ils ne peuvent pas nier que Svoboda et le Sektor Droit exécutent le gouvernement de coalition lorsque Svoboda détient cinq postes, y compris le poste de Premier ministre adjoint et Dmytro Yarosh du Sektor Droite est maintenant secrétaire adjoint de la sécurité nationale du pays.
 
Mais à propos cette spectaculaire vidéo de « Je suis un Ukrainien » qui a partir viral alors cette crise était en train de se dérouler. C’était tellement convaincant, si déchirant. Oui, mais qui l'a fait ? Avez-vous remarqué le lien dans la description ? Awhispertoaroar... qui sont ces gens ? Oh regarde, un lien dans la description. Nous allons cliquer dessus. Ils ont un site Web et une la section derrière les scènes. Oh, il liste les réalisateurs du film. Qui est ceci ici ? Le producteur exécutif et d'inspiration, Larry Diamond. Il est également membre du Conseil sur la politique étrangère et de la nationale Endowment for Democracy et un conseiller du département d'État américain. Vous savez le plus drôle sur le changement de régime, la nationale Endowment for Democracy, c'est bien qu'ils s'appellent eux-mêmes une ONG, ils obtiennent pratiquement tout son argent auprès du gouvernement fédéral américain. Vous pouvez le vérifier en téléchargeant leurs divulgations financières annuelles. Je ne sais pas si c'est juste une coïncidence que le NED à verser des quantités massives d'argent en l’Ukraine pour renforcer la démocratie et la société civile ".

Ça l’air chouette, n'est-elle pas ? La démocratie... la société civile. Bien sûr, maintenant vous avez réalisé que quand ils parlent de répandre la démocratie, ce qu'ils signifient vraiment est un changement de régime, et ils sont prêts à travailler avec les éléments plus méprisables quand ce sera opportun.

C'est exactement le même jeu, qu'ils ont joué en Syrie. Le gouvernement américain a financé des extrémistes bien connus, carrément d’organisations terroristes qui furent documentées en massacrant des villes entières. Ils ont donné de l'argent, on leur donna des armes, et même après que ces extrémistes utiliseront du gaz sarin sur des milliers de civils et ont été pris par l'ONU, Washington a toujours était près de les couvrir. Même aujourd'hui ils financent toujours ces meurtriers, ils les entrainent toujours, et ils envoient toujours les armes. Il y a un mot pour ce type d'activité : terrorisme parrainé par l'État.


Mais la situation en Ukraine ne se déroule pas comme prévu. Le Parlement de Crimée, dans le sud de l'Ukraine a voté pour une sécession, et ils ont pris la décision pour un référendum public. Les États-Unis allèguent que ce référendum est « inconstitutionnel » et dit qu'ils ne reconnaissent pas la décision de la Crimée comme légitime, quelle que soit l'issue. Donc un coup d'État néonazi soutenu par des étrangers est constitutionnel, mais pas une déclaration d'indépendance, [placé à] un vote général . Sérieusement ? "C'est le mieux que vous les gars pouvez faire . Qui rédige ces scripts ?

L'enjeu réel de ce drame est beaucoup plus important que l'Ukraine ou la Syrie et ce ne sont pas des évènements aléatoires et isolés. Nous assistons à la phase finale d'une partie d'échecs géopolitique qui est conçue pour se finir en guerre. Mais pour réussir, ils doivent vous convaincre, le public, qu'ils ne voyaient pas l’arrivée. Ils ont besoin de vous faire croire que l'autre côté était l'agresseur. Ils comptent sur vous, de ne pas faire attention au fait qu'Obama a signé un ordre visant la Russie avec des sanctions cette semaine dernière et de révoquer les visas de plusieurs diplomates russes. Ils comptent sur vous, de ne pas avoir remarqué que la Russie avait prévenu qu'une telle démarche se traduirait en Russie, de faire tomber le dollar et encourager les autres à faire pareil. Ils comptent sur vous d’être trop naïve pour se rendre compte de cette guerre économique invite une guerre physique. Ils pensent que vous êtes trop stupides pour relier les points.

Leur prouver le contraire.







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